Ce n’est pas simple de plonger en soi. Je me suis surprise cette semaine à m’interroger sur la pertinence d’une telle démarche. Je n’ai pas vraiment peur. Ou peut-être un peu. Je ne sais pas trop.
La dame devant moi est d’une grande douceur. C’est pour m’aider à comprendre la difficile relation que ma fille entretient avec un garçon très perturbé que je suis allée la voir. Et là, je continue. Parce que je trouve du réconfort dans ses paroles et que je sens, inévitablement, que je dois avancer. Même si le chemin est couvert de clous. Il y a toujours moyen de passer. Je trouverai bien.
Je me sens privilégiée. J’ai de bons amis, un homme dans ma vie qui m’aime et qui m’accompagne. Nous avons sagement « travaillé » pour que notre relation soit harmonieuse, enrichissante et paisible. Nous avons du plaisir à vivre ensemble. Je me sens bien avec lui. Voilà une bien bonne chose.
Avec mon ex, le père de ma fille, les choses ne vont pas très bien. Il s’éloigne, m’évite peut-être, se déresponsabilise certainement. Tant pis pour lui. Je serai toujours là pour ma fille, même si je suis trop souvent celle qui passe pour la méchante, celle qui fixe les limites, celle qui ne sera peut-être jamais l’amie mais toujours la mère. Et lui, il récolte l’amour inconditionnel de sa fille, une richesse dont il ne semble pas mesurer l’immensité.
Au travail, la situation se rétablit lentement et les nouvelles responsabilités qu’on m’a confiées font en sorte que les journées passent très vite. J’aime travailler. J’aime solutionner des problèmes. J’aime parler aux gens. J’aime le milieu dans lequel j’évolue. Donc, disons que le bilan est positif.
Tout ça est bien, mais j’ai envie d’aller plus loin. J’ai envie de m’ouvrir à moi-même. J’ai envie d’être plus créative, plus épanouie. J’ai envie de me débarrasser de cette anxiété qui parfois m’envahit et me coupe le souffle. J’ai envie d’apprendre à lâcher prise.
Tout un contrat, comme dirait l’autre!
Il y avait aujourd’hui une ambiance festive partout où je suis allée. À l’épicerie, à la SAQ, au marché, et même à la bibliothèque! Ça sent presque le printemps… La saison des amours.
La dame devant moi est d’une grande douceur. C’est pour m’aider à comprendre la difficile relation que ma fille entretient avec un garçon très perturbé que je suis allée la voir. Et là, je continue. Parce que je trouve du réconfort dans ses paroles et que je sens, inévitablement, que je dois avancer. Même si le chemin est couvert de clous. Il y a toujours moyen de passer. Je trouverai bien.
Je me sens privilégiée. J’ai de bons amis, un homme dans ma vie qui m’aime et qui m’accompagne. Nous avons sagement « travaillé » pour que notre relation soit harmonieuse, enrichissante et paisible. Nous avons du plaisir à vivre ensemble. Je me sens bien avec lui. Voilà une bien bonne chose.
Avec mon ex, le père de ma fille, les choses ne vont pas très bien. Il s’éloigne, m’évite peut-être, se déresponsabilise certainement. Tant pis pour lui. Je serai toujours là pour ma fille, même si je suis trop souvent celle qui passe pour la méchante, celle qui fixe les limites, celle qui ne sera peut-être jamais l’amie mais toujours la mère. Et lui, il récolte l’amour inconditionnel de sa fille, une richesse dont il ne semble pas mesurer l’immensité.
Au travail, la situation se rétablit lentement et les nouvelles responsabilités qu’on m’a confiées font en sorte que les journées passent très vite. J’aime travailler. J’aime solutionner des problèmes. J’aime parler aux gens. J’aime le milieu dans lequel j’évolue. Donc, disons que le bilan est positif.
Tout ça est bien, mais j’ai envie d’aller plus loin. J’ai envie de m’ouvrir à moi-même. J’ai envie d’être plus créative, plus épanouie. J’ai envie de me débarrasser de cette anxiété qui parfois m’envahit et me coupe le souffle. J’ai envie d’apprendre à lâcher prise.
Tout un contrat, comme dirait l’autre!
Il y avait aujourd’hui une ambiance festive partout où je suis allée. À l’épicerie, à la SAQ, au marché, et même à la bibliothèque! Ça sent presque le printemps… La saison des amours.
Image Kelly Howlett