Nous avons eu une magnifique semaine sous le chaud soleil de Cuba, ma fille et moi. Toute une semaine à manger en tête-à-tête, à rigoler, à prendre un verre au piano-bar en blaguant avec le barman qui semblait charmé de voir la mère et la fille s’amuser autant. Toute une semaine à vivre au même rythme, sans se soucier de rien. Une semaine tellement en dehors de l’ordinaire que j’ai eu beaucoup de peine à m’en remettre. C’est-à-dire à me réadapter à la routine quotidienne où nous ne nous voyons pratiquement jamais ma fille et moi, où les repas sont pris à la hâte, où les heures filent sans qu’on ait l’impression de venir à bout de tout ce qu’on à faire. Et le temps gris et froid n’arrange rien.
Mais, mais, mais… je ne me plains pas. J’ai juste envie de repartir.
Le plus beau de l’histoire a été pour moi de constater que ma fille fait preuve d’une grande souplesse, qu’elle est attentive aux autres, très respectueuse et qu’elle a un humour savoureux. Je souhaite à tous les parents de s’accorder de tels moments. Nous avons eu le temps de prendre le temps. De dormir sur la plage, de plonger dans nos livres en soupirant de bien-être, de marcher, de jogger (dans le cas de ma fille), de siroter un café en milieu d’après-midi, de visiter les marchés aux puces et de prendre des tas de photos. Nous avons, surtout, eu le temps d’être ensemble.
Mais, mais, mais… la vie continue et les vacances ne sont pas éternelles.
Je n’écris presque plus, manque de temps et pas tellement envie, même si ça bourdonne dans ma tête. Le besoin est un peu moins pressant, mais je sais très bien que je devrais m’obliger à maintenir un certain rythme d’écriture. Principalement parce que l’exercice m’oblige à me connecter à moi. Et l’expérience me dit que c’est essentiel pour mon équilibre.
Le travail va bien. Rien à dire de ce côté.
Je devrais prendre exemple sur Dany Laferrière et toujours traîner un petit carnet sur moi pour noter mes idées. Et aussi mes rêves. Je sais que j’ai imaginé des personnages, une histoire, un début de quelque chose. Mais j’ai déjà perdu la connexion. Était-ce dans mon rêve?
J’ai vu le film Coco avant Chanel hier, et j’ai bien aimé. Même si on reste un peu sur notre faim. Il faut probablement lire une bonne biographie pour en savoir plus. Ou attendre la suite.
Sur la plage, j’ai lu 2 livres: 13 heures, de Deon Meyer, et Les chaussures italiennes, de Henning Mankell. Le premier, un roman policier où deux histoires se croisent, m’a tenu suffisamment en haleine pour que je le termine en quelques jours. Mais j’ai savouré bien plus l’histoire et la beauté de l’écriture du deuxième. Je n’ai pas envie d’en faire le compte rendu, mais je vous les recommande l’un comme l’autre.
Mais, mais, mais… je ne me plains pas. J’ai juste envie de repartir.
Le plus beau de l’histoire a été pour moi de constater que ma fille fait preuve d’une grande souplesse, qu’elle est attentive aux autres, très respectueuse et qu’elle a un humour savoureux. Je souhaite à tous les parents de s’accorder de tels moments. Nous avons eu le temps de prendre le temps. De dormir sur la plage, de plonger dans nos livres en soupirant de bien-être, de marcher, de jogger (dans le cas de ma fille), de siroter un café en milieu d’après-midi, de visiter les marchés aux puces et de prendre des tas de photos. Nous avons, surtout, eu le temps d’être ensemble.
Mais, mais, mais… la vie continue et les vacances ne sont pas éternelles.
Je n’écris presque plus, manque de temps et pas tellement envie, même si ça bourdonne dans ma tête. Le besoin est un peu moins pressant, mais je sais très bien que je devrais m’obliger à maintenir un certain rythme d’écriture. Principalement parce que l’exercice m’oblige à me connecter à moi. Et l’expérience me dit que c’est essentiel pour mon équilibre.
Le travail va bien. Rien à dire de ce côté.
Je devrais prendre exemple sur Dany Laferrière et toujours traîner un petit carnet sur moi pour noter mes idées. Et aussi mes rêves. Je sais que j’ai imaginé des personnages, une histoire, un début de quelque chose. Mais j’ai déjà perdu la connexion. Était-ce dans mon rêve?
J’ai vu le film Coco avant Chanel hier, et j’ai bien aimé. Même si on reste un peu sur notre faim. Il faut probablement lire une bonne biographie pour en savoir plus. Ou attendre la suite.
Sur la plage, j’ai lu 2 livres: 13 heures, de Deon Meyer, et Les chaussures italiennes, de Henning Mankell. Le premier, un roman policier où deux histoires se croisent, m’a tenu suffisamment en haleine pour que je le termine en quelques jours. Mais j’ai savouré bien plus l’histoire et la beauté de l’écriture du deuxième. Je n’ai pas envie d’en faire le compte rendu, mais je vous les recommande l’un comme l’autre.
Lire est un pur plaisir quand on a aucune limite de temps pour le faire, quand on peut déposer son livre quelques minutes pour fermer les yeux, dormir un peu, et s’éveiller pour y replonger. Ça frôle le sublime.
Mais, mais, mais… ce n’est qu’en vacances qu’on peut se permettre ça.