Tant de tueries. Je n’écoute plus les mauvaises nouvelles,
je les subis. Elles s’infiltrent insidieusement
dans les téléromans, les émissions de variétés, la météo. On nous dit :
« N’oublie pas, dehors, on tue… » Ça ne date pas d’hier les tueries.
L’homme soigne son ego comme il peut. Il a besoin de rayonner. De gagner. Et si
on inventait un bulletin de bonnes nouvelles, peut-être que le monde irait mieux...
Aucun commentaire:
Publier un commentaire