Malgré la nuit blanche que je viens de passer, j’avais encore de l’énergie pour faire l’épicerie et la lessive. Je suis incapable de m’arrêter. C’est si difficile pour moi de me détendre. Tellement difficile que j’arrive à peine à prendre le temps de manger. Trop souvent, j’avale sans réfléchir des aliments vite préparés et je passe à autre chose. Je suppose que ce n’est pas très bon pour la santé.
Justement, parlant de santé, j’ai vu mon médecin mercredi dernier. J’étais tout heureuse d’être la première sur sa liste, mais j’ai vite déchanté quand j’ai vu une autre personne franchir la porte de son bureau avant moi. Ce n’est qu’une heure plus tard qu’il en est sorti. Je suppose qu’il s’agissait d’une urgence, car mon médecin semblait fort préoccupé et m’a même avertie qu’il attendait un appel urgent d’un radiologue, appel qu’il devrait prendre immédiatement, au risque d’interrompre notre entretien pendant quelques minutes.
J’avoue que cette situation m’a mise un peu mal à l’aise, car j’avais l’intention de prendre le temps de discuter avec lui et ce temps venait de m’être volé. J’aurais pu ne pas en tenir compte. Je sentais que mon médecin avait la tête ailleurs. Lorsqu’il m’a donné les résultats des analyses sanguines, qui étaient tous normaux, ça m’a quand même rassurée. Mes inquiétudes ne sont pas toutes disparues. Il faut attendre un an avant de repasser l’ostéodensitométrie et de voir si mon état s’améliore ou se détériore.
J’ai remis mon travail de session jeudi dernier. Quel soulagement! J’ai obtenu une bonne note pour mon synopsis. Quelle joie! J’ai bien hâte à la semaine prochaine pour voir comment sera jugé ce dernier travail pour lequel j’ai mis tellement d’heures. Je n’aurais pas dû. Je sais que bien des étudiants ont rédigé à la hâte ces quatre pages et qu’ils dorment tranquilles. Moi, si je n’ai pas dormi de la nuit, c’est un peu parce que je ne sais pas évacuer le stress. Je sais que d’ici quelques jours, tout ira mieux. Les vacances seront les bienvenues.
L’abondante neige qui est tombée cette semaine commence déjà à fondre. Ce soir, le temps était doux et j’aurais bien voulu aller marcher, avec mon chien. Mais je n’ai pas de chien. C’était pourtant la soirée parfaite pour une promenade. Je n’avais pas envie de marcher seule. Je n’avais pas envie de marcher dans ce quartier que je connais par cœur. Je suis rentrée. J’ai mangé trop vite, je suis allée à la buanderie remplir trois machines et je me suis assise devant l’ordinateur pour écrire.
Je travaille toute la fin de semaine. Vivement les vacances!
Justement, parlant de santé, j’ai vu mon médecin mercredi dernier. J’étais tout heureuse d’être la première sur sa liste, mais j’ai vite déchanté quand j’ai vu une autre personne franchir la porte de son bureau avant moi. Ce n’est qu’une heure plus tard qu’il en est sorti. Je suppose qu’il s’agissait d’une urgence, car mon médecin semblait fort préoccupé et m’a même avertie qu’il attendait un appel urgent d’un radiologue, appel qu’il devrait prendre immédiatement, au risque d’interrompre notre entretien pendant quelques minutes.
J’avoue que cette situation m’a mise un peu mal à l’aise, car j’avais l’intention de prendre le temps de discuter avec lui et ce temps venait de m’être volé. J’aurais pu ne pas en tenir compte. Je sentais que mon médecin avait la tête ailleurs. Lorsqu’il m’a donné les résultats des analyses sanguines, qui étaient tous normaux, ça m’a quand même rassurée. Mes inquiétudes ne sont pas toutes disparues. Il faut attendre un an avant de repasser l’ostéodensitométrie et de voir si mon état s’améliore ou se détériore.
J’ai remis mon travail de session jeudi dernier. Quel soulagement! J’ai obtenu une bonne note pour mon synopsis. Quelle joie! J’ai bien hâte à la semaine prochaine pour voir comment sera jugé ce dernier travail pour lequel j’ai mis tellement d’heures. Je n’aurais pas dû. Je sais que bien des étudiants ont rédigé à la hâte ces quatre pages et qu’ils dorment tranquilles. Moi, si je n’ai pas dormi de la nuit, c’est un peu parce que je ne sais pas évacuer le stress. Je sais que d’ici quelques jours, tout ira mieux. Les vacances seront les bienvenues.
L’abondante neige qui est tombée cette semaine commence déjà à fondre. Ce soir, le temps était doux et j’aurais bien voulu aller marcher, avec mon chien. Mais je n’ai pas de chien. C’était pourtant la soirée parfaite pour une promenade. Je n’avais pas envie de marcher seule. Je n’avais pas envie de marcher dans ce quartier que je connais par cœur. Je suis rentrée. J’ai mangé trop vite, je suis allée à la buanderie remplir trois machines et je me suis assise devant l’ordinateur pour écrire.
Je travaille toute la fin de semaine. Vivement les vacances!
2 commentaires:
Ton chien qui ressemble beaucoup au mien me fait penser à ce que me disaient les gens quand je parlais de mes découvertes piétonnes faites avec Mandarine l'été dernier.
Ils disaient: pour bien découvrir le village, il faut avoir un chien à promener ;)
Bon courage pour ta fin de semaine de travail!
Je pourrais toujours emprunter le chien du voisin, un de ces jours...
Merci pour tes encouragements, tout s'est bien passé mais j'ai hâte aux vacances!
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