Le voilà presque terminé, ce blanc mois de décembre. Et je ne peux pas dire, cette fois-ci, que je ne l’ai pas vu passer. Au contraire. Chaque jour de ce mois, depuis le premier, se compare à une pièce de puzzle. Chacune de ces pièces est différente, et je sais très bien qu’elles finiront toutes par s’assembler. Et je comprendrai, enfin, le sens de ces perturbations.
Heureusement que la douce Marie-Lise a trouvé les bons mots pour m’apaiser, me réconforter. Mon anxiété est en rémission. Elle a fait place à un sentiment d’abandon, j’oserais presque dire, de sérénité.
Décembre et ses tempêtes, décembre et son instabilité. Décembre qui termine l’année et où, à son avant-dernier jour, je suis venue au monde pour commencer la mienne. J’arrive à la fin, comme en retard, comme un cheveu sur la soupe.
J’ai la tête un peu dans la brume. Je me suis couchée aux petites heures du matin. Hier, c’était le « party de bureau » traditionnel. Je me suis éclatée. Pas dans l’alcool ni dans la bouffe – j’y suis allée avec une grande modération –, mais dans le rire et la folie. Dieu que j’ai changé! Il faut dire que la folie contagieuse d’une collègue de travail y est pour quelque chose.
L’ambiance de fin de soirée était plutôt à la discussion qu’à la danse, alors, c’est assise au bar que je me suis retrouvée pour écouter bien plus que pour placoter. Et c’est en écoutant qu’on apprend…
Ce matin, je me suis levée un peu tard et quand ma fille est arrivée, vers 11 heures, nous avons pris un café ensemble. Elle a terminé sa session et elle était d’un calme rassurant. Nous avons passé la journée ensemble, vacant chacune à nos occupations, et l’avons terminée par un souper avalé trop vite. Quand aurons-nous vraiment le temps de nous arrêter?
Il me reste deux jours de travail avant les vacances. Ce seront deux journées bien remplies. Une panne informatique a paralysé notre système vendredi dernier. Un très mauvais moment. Nous avons dû reporter beaucoup de tâches qu’il aurait fallu exécuter pour la fin d’année. Ce fâcheux événement nous a fait réaliser combien nous sommes devenus dépendants de la technologie et combien, sans elle, nous ne savons plus faire grand-chose de nos dix doigts.
Je verrai demain, si j’arrive à sortir de chez moi. La tempête nous a laissé une belle bordée de neige qui sera certainement difficile à déplacer. Et le froid va s’en mêler en plus, comme si ce n’était pas assez!
Heureusement que la douce Marie-Lise a trouvé les bons mots pour m’apaiser, me réconforter. Mon anxiété est en rémission. Elle a fait place à un sentiment d’abandon, j’oserais presque dire, de sérénité.
Décembre et ses tempêtes, décembre et son instabilité. Décembre qui termine l’année et où, à son avant-dernier jour, je suis venue au monde pour commencer la mienne. J’arrive à la fin, comme en retard, comme un cheveu sur la soupe.
J’ai la tête un peu dans la brume. Je me suis couchée aux petites heures du matin. Hier, c’était le « party de bureau » traditionnel. Je me suis éclatée. Pas dans l’alcool ni dans la bouffe – j’y suis allée avec une grande modération –, mais dans le rire et la folie. Dieu que j’ai changé! Il faut dire que la folie contagieuse d’une collègue de travail y est pour quelque chose.
L’ambiance de fin de soirée était plutôt à la discussion qu’à la danse, alors, c’est assise au bar que je me suis retrouvée pour écouter bien plus que pour placoter. Et c’est en écoutant qu’on apprend…
Ce matin, je me suis levée un peu tard et quand ma fille est arrivée, vers 11 heures, nous avons pris un café ensemble. Elle a terminé sa session et elle était d’un calme rassurant. Nous avons passé la journée ensemble, vacant chacune à nos occupations, et l’avons terminée par un souper avalé trop vite. Quand aurons-nous vraiment le temps de nous arrêter?
Il me reste deux jours de travail avant les vacances. Ce seront deux journées bien remplies. Une panne informatique a paralysé notre système vendredi dernier. Un très mauvais moment. Nous avons dû reporter beaucoup de tâches qu’il aurait fallu exécuter pour la fin d’année. Ce fâcheux événement nous a fait réaliser combien nous sommes devenus dépendants de la technologie et combien, sans elle, nous ne savons plus faire grand-chose de nos dix doigts.
Je verrai demain, si j’arrive à sortir de chez moi. La tempête nous a laissé une belle bordée de neige qui sera certainement difficile à déplacer. Et le froid va s’en mêler en plus, comme si ce n’était pas assez!
1 commentaire:
Je trouve que c'est aussi essentiel de s'éclater dans certaines discussions, ça me manque un ti peu j'avoue....
J'en profite pour te souhaiter un Joyeux Noël, à toi, ta grande et ton chum!
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