Ces derniers jours, j’ai été fort occupée (et préoccupée) par de multiples alertes de virus. Non, pas le virus dont on a tant parlé pour le 1er avril, mais une multitude de bébittes aux noms variés. Apparemment que les noms des virus changent aussi vite que les prix des aliments au supermarché ces temps-ci. Bref, le cauchemar est derrière moi, grâce à la gentillesse d’un collègue de travail fort expérimenté qui a fait le grand ménage et réinstallé le système d’exploitation.
Fiou! Une chance qu’il était là. Et ça ne m’a coûté qu’un joli sourire et une boîte de biscotti faits maison. J’ai bien tenté de me débarrasser du problème en suivant les instructions d’un expert sur le forum de PC Entraide, site que je recommande d’ailleurs à tous ceux qui ont un peu d’expérience et qui souhaitent effectuer les manœuvres nécessaires à ce genre de décontamination. Par contre, pour une néophyte comme moi, c’est beaucoup d’émotions et de maux de tête. J’avoue que je ne suis pas taillée pour ce genre d’exercices.
Heureusement, j’ai compris depuis longtemps qu’il faut sauvegarder les précieuses données régulièrement et c’est ce que j’avais fait sur un disque externe. Donc, de ce côté, rien de perdu. Pour les programmes, quelques installations à faire et le tour est joué.
Et pendant ce temps-là, la vie continue. J’ai en tête que dans quelques jours, je serai en vacances, étendue sur la plage. Je me laisserai caresser par le vent, sous le chaud soleil de Cuba. Je pourrai regarder la mer et son infinie beauté. Je pourrai déposer tous mes soucis, méditer en prenant de très grandes respirations. Je pourrai lever les yeux vers le ciel bleu et me dire que ces moments sont parmi les plus beaux. Ces moments où je me sens totalement libre.
Cette longue période où j’ai cessé de venir écrire ici m’a aussi obligée à remettre en question la pertinence de ce blogue. J’ai peu de lecteur, et l’objectif d’établir un lien avec d’autres personnes en racontant mon quotidien n’est pas vraiment atteint. Par contre, je n’hésiterais pas à affirmer que l’écriture me fait du bien, à moi. Et que même si les lecteurs sont silencieux, il y en a peut-être à qui ça fait du bien de me lire. Peut-être.
Même si ça peut paraître contradictoire, j’ai envie d’ouvrir un autre blogue, sur un sujet précis qui me passionne réellement. Mais pour ça il faut du temps. Et une certaine préparation. J’y songe. Le projet suit son cours, dans ma tête d’abord. On verra pour la suite.
Le printemps me semble hâtif cette année. Je le sais à cause de la routine du changement de pneus sur ma voiture. D’habitude, je suis toujours un peu embêtée par les tempêtes tardives du mois d’avril. Cette année, c’est dès la mi-mars qu’on a senti que l’hiver venait de perdre la bataille et que le printemps réclamait sa place. Qui s’en plaindra?
Au quotidien? Tout va bien. Ma fille va très bien et elle est à jour dans ses travaux au cégep (ce qui est très bon signe). Mon chum est heureux dans son nouveau travail. J’essaie d’évoluer dans le mien, malgré les habituelles contrariétés que j’apprends à ne plus considérer comme accablantes, mais comme faisant partie du contrat. « Accepter ce que je ne peux changer… »
Mon corps m’a fait souffrir récemment, mais j’ai découvert que le nouveau médicament qu’on m’a prescrit pour aider le calcium à se fixer sur mes os pourrait en être la cause. Je vais en parler au pharmacien.
Voilà, c’est un peu méli mélo tout ça, mais c’est à ça que ressemble ma vie par les temps qui courent. D’autres réflexions sur mon autre blogue, pour ceux que ça intéresse…
Fiou! Une chance qu’il était là. Et ça ne m’a coûté qu’un joli sourire et une boîte de biscotti faits maison. J’ai bien tenté de me débarrasser du problème en suivant les instructions d’un expert sur le forum de PC Entraide, site que je recommande d’ailleurs à tous ceux qui ont un peu d’expérience et qui souhaitent effectuer les manœuvres nécessaires à ce genre de décontamination. Par contre, pour une néophyte comme moi, c’est beaucoup d’émotions et de maux de tête. J’avoue que je ne suis pas taillée pour ce genre d’exercices.
Heureusement, j’ai compris depuis longtemps qu’il faut sauvegarder les précieuses données régulièrement et c’est ce que j’avais fait sur un disque externe. Donc, de ce côté, rien de perdu. Pour les programmes, quelques installations à faire et le tour est joué.
Et pendant ce temps-là, la vie continue. J’ai en tête que dans quelques jours, je serai en vacances, étendue sur la plage. Je me laisserai caresser par le vent, sous le chaud soleil de Cuba. Je pourrai regarder la mer et son infinie beauté. Je pourrai déposer tous mes soucis, méditer en prenant de très grandes respirations. Je pourrai lever les yeux vers le ciel bleu et me dire que ces moments sont parmi les plus beaux. Ces moments où je me sens totalement libre.
Cette longue période où j’ai cessé de venir écrire ici m’a aussi obligée à remettre en question la pertinence de ce blogue. J’ai peu de lecteur, et l’objectif d’établir un lien avec d’autres personnes en racontant mon quotidien n’est pas vraiment atteint. Par contre, je n’hésiterais pas à affirmer que l’écriture me fait du bien, à moi. Et que même si les lecteurs sont silencieux, il y en a peut-être à qui ça fait du bien de me lire. Peut-être.
Même si ça peut paraître contradictoire, j’ai envie d’ouvrir un autre blogue, sur un sujet précis qui me passionne réellement. Mais pour ça il faut du temps. Et une certaine préparation. J’y songe. Le projet suit son cours, dans ma tête d’abord. On verra pour la suite.
Le printemps me semble hâtif cette année. Je le sais à cause de la routine du changement de pneus sur ma voiture. D’habitude, je suis toujours un peu embêtée par les tempêtes tardives du mois d’avril. Cette année, c’est dès la mi-mars qu’on a senti que l’hiver venait de perdre la bataille et que le printemps réclamait sa place. Qui s’en plaindra?
Au quotidien? Tout va bien. Ma fille va très bien et elle est à jour dans ses travaux au cégep (ce qui est très bon signe). Mon chum est heureux dans son nouveau travail. J’essaie d’évoluer dans le mien, malgré les habituelles contrariétés que j’apprends à ne plus considérer comme accablantes, mais comme faisant partie du contrat. « Accepter ce que je ne peux changer… »
Mon corps m’a fait souffrir récemment, mais j’ai découvert que le nouveau médicament qu’on m’a prescrit pour aider le calcium à se fixer sur mes os pourrait en être la cause. Je vais en parler au pharmacien.
Voilà, c’est un peu méli mélo tout ça, mais c’est à ça que ressemble ma vie par les temps qui courent. D’autres réflexions sur mon autre blogue, pour ceux que ça intéresse…
2 commentaires:
Bonjour, je me suis inscrite à ta new letters, je lis tes articles, mais je ne laisse pas de commentaire, je dois dire que j'ai toujours hâte de vous lire, cela fait déjà plus de 2 ans que je vous lis régulièrement. Je me suis abonnée au lettre de Marta écrit par Marie Laberge, J'ai hâte de la lire comme tes articles, sauf que toi, pour te lire c'est gratuit. Ne ferme pas ton blog, je suis certaine qu'il en a plusieurs comme moi qui ne laisse jamais de commentaire (ou presque(
Bye bye et bon voyage, ramène nous le soleil. Au plaisir de vous lire encore. J'ai eu beaucoup de difficulter à mettre un commentaire votre système demande des mots de passes.....
http://piupiu168.over-blog.com
Bonjour,
Merci pour ces gentilles paroles. Ça me fait du bien d'entendre cet écho. Oui, je sais que c'est un peu compliqué de laisser des commentaires et c'est très aimable à vous d'avoir pris le temps de le faire.
Je trouve la démarche de Marie Laberge très particulière. Certains la critiquent, d'autres l'admirent pour son originalité. Vous, qu'en pensez-vous?
Je ferai le plein de soleil et j'espère en rapporter certainement.
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