Une merveilleuse semaine passée à Cuba. Le temps était parfait. Le soleil nous a fait le plus grand bien. Pour la première fois, mon chum est revenu tout bronzé (il a une peau fragile qui a tendance à rougir). Dans l’ensemble, notre séjour nous a ravis. Nous ne sommes ni lui ni moi très exigeants, alors les petits désagréments tels le manque d’eau chaude à quelques reprises, la présence des moustiques et le choix un peu limité de nourriture au buffet ne nous ont pas vraiment dérangés. Comme on dit, on ne va pas à Cuba pour la gastronomie. On va à Cuba pour la plage, le soleil et la mer.
Beaucoup de Québécois sur la plage, des gens qui nous ont parlé de leurs nombreux voyages, comme des petites familles qui en étaient à leur première expérience et qui semblaient ravies. Je suis toujours étonnée de voir avec quelle aisance des mères voyagent avec de très jeunes bébés. Et les bébés ne se plaignent ni du soleil ni de la chaleur et clapotent joyeusement dans la mer avec leurs parents.
Nous avons rapporté quelques pièces d’artisanat local : un masque en bois sculpté, qui s’ajoute à notre collection, et une très belle sérigraphie, qui représente une femme dont les bras entourent un visage d’enfant. Nous aurions voulu en acheter plus d’une, le choix a été difficile. Nous avons aussi reçu un présent d’un Cubain à qui mon copain avait donné une casquette. Il semblait très touché de recevoir ce cadeau, alors le lendemain, il nous a offert un coq sculpté dans des noix de coco, confectionné par sa femme. C’est très joli.
Dès notre retour, avant même de rentrer chez nous, nous nous sommes rendus à une petite fête pour célébrer le baptême du fils du neveu de mon copain, à laquelle nous avions promis d’assister. Encore un peu ivres de soleil et de cocktails cubains, nous avons continué à nous enivrer de bon vin, jusqu’à ce que la fatigue nous gagne et nous oblige à rentrer. Sur le chemin du retour, j’aperçois ma fille qui marchait vers le métro. J’ai tout de suite prié mon copain de s’arrêter, car j’avais tellement envie de serrer ma fille dans mes bras. Nous sommes ensuite allés la reconduire chez son père, où elle passe l’été. Elle reprend son travail au camp de jour avec les enfants autistes. C’est la troisième année qu’elle s’occupe du même petit garçon. Un autiste profond qui, âgé de neuf ans aujourd’hui, commence tout juste à prononcer quelques mots. Ma fille est totalement éblouie des progrès qu’il accomplit. Et moi, la mère, je suis admirative devant cette belle expérience qu’elle se permet de vivre, encore une fois cette année. Je pense que l’été commence bien.
Beaucoup de Québécois sur la plage, des gens qui nous ont parlé de leurs nombreux voyages, comme des petites familles qui en étaient à leur première expérience et qui semblaient ravies. Je suis toujours étonnée de voir avec quelle aisance des mères voyagent avec de très jeunes bébés. Et les bébés ne se plaignent ni du soleil ni de la chaleur et clapotent joyeusement dans la mer avec leurs parents.
Nous avons rapporté quelques pièces d’artisanat local : un masque en bois sculpté, qui s’ajoute à notre collection, et une très belle sérigraphie, qui représente une femme dont les bras entourent un visage d’enfant. Nous aurions voulu en acheter plus d’une, le choix a été difficile. Nous avons aussi reçu un présent d’un Cubain à qui mon copain avait donné une casquette. Il semblait très touché de recevoir ce cadeau, alors le lendemain, il nous a offert un coq sculpté dans des noix de coco, confectionné par sa femme. C’est très joli.
Dès notre retour, avant même de rentrer chez nous, nous nous sommes rendus à une petite fête pour célébrer le baptême du fils du neveu de mon copain, à laquelle nous avions promis d’assister. Encore un peu ivres de soleil et de cocktails cubains, nous avons continué à nous enivrer de bon vin, jusqu’à ce que la fatigue nous gagne et nous oblige à rentrer. Sur le chemin du retour, j’aperçois ma fille qui marchait vers le métro. J’ai tout de suite prié mon copain de s’arrêter, car j’avais tellement envie de serrer ma fille dans mes bras. Nous sommes ensuite allés la reconduire chez son père, où elle passe l’été. Elle reprend son travail au camp de jour avec les enfants autistes. C’est la troisième année qu’elle s’occupe du même petit garçon. Un autiste profond qui, âgé de neuf ans aujourd’hui, commence tout juste à prononcer quelques mots. Ma fille est totalement éblouie des progrès qu’il accomplit. Et moi, la mère, je suis admirative devant cette belle expérience qu’elle se permet de vivre, encore une fois cette année. Je pense que l’été commence bien.
2 commentaires:
Tiens, je me rends compte que c'est une troisième fête! Jamais deux sans trois...
Bien contente que vous soyez ravis de votre voyage! Maudite belle manière de commencer l'été!
Surtout qu'à mon avis; j'ai jamais trop compris le trip d'aller dans le Sud en plein hiver, pour replonger direct dedans au retour.
Là; ça vous fait une belle suite et JF pourra continuer de bronzer!
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