Samedi dernier, nous avons célébré le cinquantième anniversaire de mon beau-frère. Nous étions 35 invités, dans une salle que ma sœur avait réservée pour l’occasion. La pauvre voulait tellement que cette fête soit réussie qu’elle en a à peine profité. Le jubilaire, lui, en a savouré tous les instants.
Tous ses amis et sa famille étaient réunis autour d’une grande table et les conversations allaient bon train. Entre le plat principal et le dessert, nous avons quitté la table pour faire subir au cinquantenaire le test du « Québec 50 », un questionnaire que mon copain et moi avions préparé pour l’occasion. Il faut dire que ce beau-frère est d’origine normande. Bien qu’il vive au Québec depuis plus de 25 ans, il n’a demandé sa citoyenneté canadienne que récemment, parce qu’il espérait qu’un jour le Québec allait se séparer. Alors, ce test avait pour but de mesurer ses connaissances du Québec et surtout d’amuser et de divertir les invités. Et ça n’a pas raté.
Nous avons dû quitter la fête assez tôt, car ma fille travaillait le lendemain. Et à ce moment, nous pensions qu’elle souffrait de « la cinquième maladie », diagnostiquée par le médecin qu’elle avait consulté la veille. Malheureusement, quelques jours plus tard, son état empirait. Son visage, d’abord couvert de rougeurs, s’est subitement mis à enfler à la suite de l’application d’une crème hydratante dans le but de soulager la sécheresse de la peau qui l’incommodait.
Le second médecin consulté a infirmé le diagnostic du précédent, constatant que les symptômes ne s’apparentaient pas du tout à cette maladie (merci docteur!). Au lieu de poser lui-même un diagnostic, il a référé ma fille à une dermatologue, présente à la même clinique. Heureusement, la dermatologue a accepté de voir ma fille le jour-même. Diagnostic : allergie de contact. Et la grande responsable est vraisemblablement la fichue crème hydratante qu’elle a utilisée à plusieurs reprises, sans se soucier des effets qu’elle aurait pu avoir sur sa peau.
Raconté comme ça, ça n’a l’air de rien. Mais je vous jure que ma fille, son père et moi sommes passés par de très grandes émotions pendant tous ces jours où nous ne savions pas ce qu’elle avait réellement. Et croyez-moi, une jeune fille de 18 ans qui se retrouve du jour au lendemain couverte de boutons sur le visage et sur les jambes ne souhaite qu’une chose : se débarrasser de ces intrus le plus vite possible.
J’avoue, même si ça paraît facile de dire ça après, que je ne croyais pas réellement à cette « cinquième maladie » et que depuis le début, je soupçonnais l’allergie. Mais qui va contredire un médecin? Chose certaine, la patiente a été très patiente (plus de douze heures d’attente cumulées pour enfin obtenir le bon diagnostic et recevoir le bon traitement). Elle revoit la dermatologue lundi. Elle va mieux, mais la peau de son visage demeure très sensible.
Ceci a bien mal commencé ses vacances! Et elles seront courtes, puisque son travail au camp de jour débute à la fin du mois. Juste au moment où moi, je quitterai pour une autre semaine à Cuba! Eh oui! Nous n’avons pas pu résister à la fabuleuse opportunité de réserver une semaine à la moitié du prix habituel. Une aubaine affichée sur Internet pendant quelques heures et dont nous avons profité avec la plus grande joie.
Au retour, nous prévoyons faire un tour à Québec, question de voir le fameux moulin à images et de visiter l’exposition Fascinantes momies, au Musée de la civilisation. Un beau programme, de belles vacances en perspectives.
D’ici là, il faut encore travailler deux bonnes semaines. Tout va bien. Je m’adapte à mes nouvelles tâches, je suis très bien entourée et appuyée par des collègues qui vivent aussi favorablement ce changement. Je dois juste tenter de ralentir le rythme de mes pensées et ne pas espérer tout changer en même temps. Petit à petit, un jour à la fois, étape par étape.
Tous ses amis et sa famille étaient réunis autour d’une grande table et les conversations allaient bon train. Entre le plat principal et le dessert, nous avons quitté la table pour faire subir au cinquantenaire le test du « Québec 50 », un questionnaire que mon copain et moi avions préparé pour l’occasion. Il faut dire que ce beau-frère est d’origine normande. Bien qu’il vive au Québec depuis plus de 25 ans, il n’a demandé sa citoyenneté canadienne que récemment, parce qu’il espérait qu’un jour le Québec allait se séparer. Alors, ce test avait pour but de mesurer ses connaissances du Québec et surtout d’amuser et de divertir les invités. Et ça n’a pas raté.
Nous avons dû quitter la fête assez tôt, car ma fille travaillait le lendemain. Et à ce moment, nous pensions qu’elle souffrait de « la cinquième maladie », diagnostiquée par le médecin qu’elle avait consulté la veille. Malheureusement, quelques jours plus tard, son état empirait. Son visage, d’abord couvert de rougeurs, s’est subitement mis à enfler à la suite de l’application d’une crème hydratante dans le but de soulager la sécheresse de la peau qui l’incommodait.
Le second médecin consulté a infirmé le diagnostic du précédent, constatant que les symptômes ne s’apparentaient pas du tout à cette maladie (merci docteur!). Au lieu de poser lui-même un diagnostic, il a référé ma fille à une dermatologue, présente à la même clinique. Heureusement, la dermatologue a accepté de voir ma fille le jour-même. Diagnostic : allergie de contact. Et la grande responsable est vraisemblablement la fichue crème hydratante qu’elle a utilisée à plusieurs reprises, sans se soucier des effets qu’elle aurait pu avoir sur sa peau.
Raconté comme ça, ça n’a l’air de rien. Mais je vous jure que ma fille, son père et moi sommes passés par de très grandes émotions pendant tous ces jours où nous ne savions pas ce qu’elle avait réellement. Et croyez-moi, une jeune fille de 18 ans qui se retrouve du jour au lendemain couverte de boutons sur le visage et sur les jambes ne souhaite qu’une chose : se débarrasser de ces intrus le plus vite possible.
J’avoue, même si ça paraît facile de dire ça après, que je ne croyais pas réellement à cette « cinquième maladie » et que depuis le début, je soupçonnais l’allergie. Mais qui va contredire un médecin? Chose certaine, la patiente a été très patiente (plus de douze heures d’attente cumulées pour enfin obtenir le bon diagnostic et recevoir le bon traitement). Elle revoit la dermatologue lundi. Elle va mieux, mais la peau de son visage demeure très sensible.
Ceci a bien mal commencé ses vacances! Et elles seront courtes, puisque son travail au camp de jour débute à la fin du mois. Juste au moment où moi, je quitterai pour une autre semaine à Cuba! Eh oui! Nous n’avons pas pu résister à la fabuleuse opportunité de réserver une semaine à la moitié du prix habituel. Une aubaine affichée sur Internet pendant quelques heures et dont nous avons profité avec la plus grande joie.
Au retour, nous prévoyons faire un tour à Québec, question de voir le fameux moulin à images et de visiter l’exposition Fascinantes momies, au Musée de la civilisation. Un beau programme, de belles vacances en perspectives.
D’ici là, il faut encore travailler deux bonnes semaines. Tout va bien. Je m’adapte à mes nouvelles tâches, je suis très bien entourée et appuyée par des collègues qui vivent aussi favorablement ce changement. Je dois juste tenter de ralentir le rythme de mes pensées et ne pas espérer tout changer en même temps. Petit à petit, un jour à la fois, étape par étape.
2 commentaires:
Mais qu'est-ce que c'est que cette cinquième maladie?
Première fois que j'en entends parler!
Tant mieux si ce n'était qu'une alergie qui a été ciblée par le dermato.
Nous saurons bientôt en ce qui concerne l'allergie, elle doit passer des tests la semaine prochaine. La cinquième maladie est une infection virale, un peu comme la scarlatine ou la rougeole. Il n'y a pas de vaccin. Le traitement à la cortisone a réglé le problème, mais on a eu chaud!
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