Il y a quelques années, je fréquentais les bases de plein air. À l’époque, elles étaient nombreuses et avaient, pour la plupart, succédé aux auberges de jeunesse devenues un peu moins populaires auprès d’une clientèle vieillissante de baby boomers. Déjà, les chambres privées et les activités familiales étaient beaucoup plus populaires que les dortoirs mixtes et les soirées bien arrosées.
Maintenant, à l’aube de la cinquantaine, j’aime bien loger dans un endroit confortable, sans nécessairement être luxueux, lorsque je suis en vacances. Mais j’avoue que l’ambiance des auberges – où la présence des voyageurs dessine un paysage chaque jour différent, où l’accueil chaleureux des jeunes travailleurs un peu maladroits nous fait oublier les tracasseries inutiles du quotidien, où les repas s’improvisent et se partagent avec des inconnus aussi souriants que nos meilleurs amis – n’a pas d’égal pour rendre un séjour mémorable.
Aujourd’hui, les auberges prennent des airs de châteaux, offrent des soins de santé et des repas gastronomiques. J’aime bien y passer un jour ou deux, mais je m’ennuierais certainement si je m’y attardais plus longtemps. Les chevaux, les chèvres et les agneaux qui peuplaient le paysage bucolique qui nous entourait ne semblaient pas, eux, s’ennuyer le moins du monde.
Nous avons beaucoup marché et très bien mangé. Nous nous sommes reposés et retrouvés. Les vacances sont faites pour ça.
Maintenant, à l’aube de la cinquantaine, j’aime bien loger dans un endroit confortable, sans nécessairement être luxueux, lorsque je suis en vacances. Mais j’avoue que l’ambiance des auberges – où la présence des voyageurs dessine un paysage chaque jour différent, où l’accueil chaleureux des jeunes travailleurs un peu maladroits nous fait oublier les tracasseries inutiles du quotidien, où les repas s’improvisent et se partagent avec des inconnus aussi souriants que nos meilleurs amis – n’a pas d’égal pour rendre un séjour mémorable.
Aujourd’hui, les auberges prennent des airs de châteaux, offrent des soins de santé et des repas gastronomiques. J’aime bien y passer un jour ou deux, mais je m’ennuierais certainement si je m’y attardais plus longtemps. Les chevaux, les chèvres et les agneaux qui peuplaient le paysage bucolique qui nous entourait ne semblaient pas, eux, s’ennuyer le moins du monde.
Nous avons beaucoup marché et très bien mangé. Nous nous sommes reposés et retrouvés. Les vacances sont faites pour ça.
2 commentaires:
Yep! Et puis faut bien adapter nos séjours avec nos besoins hein?
Oui, plus on vieillit plus on aime notre petit confort... Mais je suis pas très difficile à contenter, heureusement !
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