Je n’ai guère de temps pour écrire, et pourtant ce ne sont pas les idées qui manquent. Mais mes idées s’embrouillent à cause d’un mal de tête dont je n’arrive pas à me débarrasser depuis ce matin. D’habitude, les analgésiques font effet rapidement, mais là, rien n’y fait. J’ai pourtant bien dormi, malgré la journée d’hier qui n’a pas été très bonne.
Parce qu’elle a commencé sur une mauvaise note. Une discussion qui a mal tourné entre mon copain et moi. Ce genre de matinée où les ondes s’entrechoquent, où finalement nous aurions dû nous taire plutôt que d’argumenter sur un sujet banal alors que ni l’un ni l’autre ne possédait suffisamment de données pour appuyer ses affirmations.
Le choc des paroles prononcées et la peur de perdre, en quelques secondes, ce que nous avons construit ensemble depuis plusieurs années m’ont fait réfléchir sur la fragilité des relations amoureuses et sur l’importance du respect. À vrai dire, il m’est difficile d’évaluer actuellement si de telles discussions nous renforcent ou nous affaiblissent.
C’est peut-être ça, la lourdeur que je ressens dans ma tête actuellement. À observer et à écouter les gens autour de moi, je me rends compte que nous sommes tous extrêmement sévères et critiques envers les autres, mais que nous ne nous interrogeons pas suffisamment sur la force de nos convictions et la solidité de nos valeurs. Nous nous attardons à la forme, rarement au contenu. Nous évaluons les gens et les choses superficiellement, sans prendre le temps d’apprécier. Nous consommons exagérément, achetons et jetons sans nous soucier des conséquences. Les objets comme les gens.
Bon, finalement, mon mal de tête est tenace et j’ai envie d’écrire quelque chose sur le beau spectacle de Björk auquel j’ai assisté vendredi dernier. Rendez-vous sur Sans parler.
Parce qu’elle a commencé sur une mauvaise note. Une discussion qui a mal tourné entre mon copain et moi. Ce genre de matinée où les ondes s’entrechoquent, où finalement nous aurions dû nous taire plutôt que d’argumenter sur un sujet banal alors que ni l’un ni l’autre ne possédait suffisamment de données pour appuyer ses affirmations.
Le choc des paroles prononcées et la peur de perdre, en quelques secondes, ce que nous avons construit ensemble depuis plusieurs années m’ont fait réfléchir sur la fragilité des relations amoureuses et sur l’importance du respect. À vrai dire, il m’est difficile d’évaluer actuellement si de telles discussions nous renforcent ou nous affaiblissent.
C’est peut-être ça, la lourdeur que je ressens dans ma tête actuellement. À observer et à écouter les gens autour de moi, je me rends compte que nous sommes tous extrêmement sévères et critiques envers les autres, mais que nous ne nous interrogeons pas suffisamment sur la force de nos convictions et la solidité de nos valeurs. Nous nous attardons à la forme, rarement au contenu. Nous évaluons les gens et les choses superficiellement, sans prendre le temps d’apprécier. Nous consommons exagérément, achetons et jetons sans nous soucier des conséquences. Les objets comme les gens.
Bon, finalement, mon mal de tête est tenace et j’ai envie d’écrire quelque chose sur le beau spectacle de Björk auquel j’ai assisté vendredi dernier. Rendez-vous sur Sans parler.
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