Je dois trouver un sujet pour la rédaction d’un article, dans le cadre du dernier cours qui me permettra de décrocher, enfin, mon certificat. Ces études entreprises il y a cinq ans m’ont apporté énormément. D’abord, la confiance en moi et en mes capacités, ensuite, une plus grande ouverture d’esprit et un meilleur jugement. J’ai toujours eu l’esprit critique. Aujourd’hui, je sais qu’on ne peut pas affirmer sans s’appuyer sur des arguments solides. Sinon, à quoi bon? En parlant de son père, Marie Laberge racontait que cet homme lui avait enseigné, justement, à ne jamais parler sans savoir. Je pense que c’est une belle leçon.
Ma fille doit, elle aussi, préparer un travail pour son cours de français. Elle a choisi le difficile sujet de la médiatisation des événements entourant les tueries dans les écoles. Elle a peur de ne pas être à la hauteur. Je l’encourage et lui suggère des pistes. Elle aussi, au fond, a besoin d’accumuler les réussites pour regagner la confiance en elle qu’elle a perdue un peu. Les déceptions amoureuses ont cette manie de nous faire sentir si petite. Et pourtant. Je prie aujourd’hui pour qu’elle rencontre un garçon digne de ses aspirations, qui saura l’aimer et la respecter.
Elle arrive petit à petit à surmonter sa peine. Les larmes et la colère ont dominé ces deux dernières semaines. Je suis un peu soulagée de passer le relais à son père. Lui, n’a pas ces excès de sensibilité qui me font souffrir et qui créent, malgré moi, des angoisses qui m’empoisonnent la vie. Je finirai bien par guérir. Je sais que je n’y arriverai pas seule. J’ai besoin de l’aide de ceux qui m’aiment.
Je dois donc me plonger dans un travail intense qui durera encore quelques mois. Au printemps, j’aurai terminé. Je m’accorderai une semaine de vacances pour me consacrer entièrement à cet article, que je souhaite terminer assez tôt. Pour avoir le temps de le laisser dormir quelques jours, et ensuite y revenir pour effectuer les dernières corrections. Je serai supervisée par un tuteur dont j’attends la confirmation – une chance exceptionnelle, a-t-on souligné au premier cours. Ce sera une belle aventure.
Ma fille doit, elle aussi, préparer un travail pour son cours de français. Elle a choisi le difficile sujet de la médiatisation des événements entourant les tueries dans les écoles. Elle a peur de ne pas être à la hauteur. Je l’encourage et lui suggère des pistes. Elle aussi, au fond, a besoin d’accumuler les réussites pour regagner la confiance en elle qu’elle a perdue un peu. Les déceptions amoureuses ont cette manie de nous faire sentir si petite. Et pourtant. Je prie aujourd’hui pour qu’elle rencontre un garçon digne de ses aspirations, qui saura l’aimer et la respecter.
Elle arrive petit à petit à surmonter sa peine. Les larmes et la colère ont dominé ces deux dernières semaines. Je suis un peu soulagée de passer le relais à son père. Lui, n’a pas ces excès de sensibilité qui me font souffrir et qui créent, malgré moi, des angoisses qui m’empoisonnent la vie. Je finirai bien par guérir. Je sais que je n’y arriverai pas seule. J’ai besoin de l’aide de ceux qui m’aiment.
Je dois donc me plonger dans un travail intense qui durera encore quelques mois. Au printemps, j’aurai terminé. Je m’accorderai une semaine de vacances pour me consacrer entièrement à cet article, que je souhaite terminer assez tôt. Pour avoir le temps de le laisser dormir quelques jours, et ensuite y revenir pour effectuer les dernières corrections. Je serai supervisée par un tuteur dont j’attends la confirmation – une chance exceptionnelle, a-t-on souligné au premier cours. Ce sera une belle aventure.
2 commentaires:
Bon courage pour ton article: dire que c'est le dernier travail avant LE certificat! Le temps passe vite hein!
Oui, le temps passe vite et je suis presque triste que ce soit déjà fini. Donc, je regarde déjà pour choisir un autre programme...
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