Surprise par un rhume depuis de début de la semaine, j’ai ralenti un peu mes activités. Au lit dès 9 heures presque tous les soirs, avec un bon livre, je me suis suffisamment reposée pour avoir de l’énergie cette fin de semaine. Hier, le temps s’annonçait trop beau pour aller m’enfermer au gym. Nous avons donc pris la voiture direction Oka, pour une petite randonnée suivie de notre première cueillette de pommes. Je dis première, car nous devrons y retourner dans quelques semaines pour la variété Cortland, plus tardive, que je préfère entre toutes. Mais d’abord, nous sommes allés marcher sur le sentier du « Calvaire d’Oka », au sommet duquel nous avions une très belle vue sur le village d’Oka et le lac des Deux-Montagnes.
Après le cueillette des pommes, nous nous sommes arrêtés à la boutique de la « Trappe », (et non la boutique de l’attrape) où une foule de touristes affamés faisaient la file devant les deux seules caisses de ce minuscule commerce qui, en cette saison d’affluence, ressemblait à un épicerie américaine prise d’assaut à la veille d’un ouragan. Nous avons filé en douce sans rien acheter.
Ce matin, j’ai cuisiné un peu entre deux brassées de lavage. Un pâté végétal, bien meilleur que celui qu’on achète à l’épicerie, et des muffins à l’avoine et aux pommes, que je n’ai pas encore goûtés. Depuis que j’habite avec mon copain, je cuisine beaucoup plus souvent et avec plaisir. Lui aussi aime cuisiner et se débrouille très bien. D’autant plus qu’il arrive avant moi le soir, alors c’est souvent lui qui prépare le souper. Ma fille rentre tard et se contente la plupart du temps d’un plat réchauffé ou d’une salade vite préparée. Mais l’essentiel, c’est que tout le monde soit heureux. Et c’est bien ce que je ressens ces jours-ci. La vie coule doucement…
Comme je n’ai plus de cours à l’université, j’attends avec impatience le début de mes ateliers à la Fédération québécoise du loisir littéraire. Pour l’instant, je profite de mes soirées libres pour lire un peu plus, jouer quelques heures sur mon Nintendo DS (eh oui, j’ai acheté ce bidule et ça m’amuse beaucoup) ou faire un peu de correction, question de ne pas perdre la main. Il faudrait bien que je me décide d’ailleurs à offrir mes services. Le hic, c’est que j’ai peur de manquer de temps. Alors j’hésite, et à force d’hésiter, je ne fais rien. Hum, faudra y remédier.
Par contre, je me réserve le droit de m’accorder du temps pour un projet d’écriture. Oui, oui, un projet d’écriture. Faut bien mettre en pratique tout ce que j’ai appris non? Et je suis convaincue que si je relisais certaines pages de ce journal, je découvrirais que ce projet ne date pas d’hier. Il attend son tour, lui aussi. Et depuis longtemps!
Après le cueillette des pommes, nous nous sommes arrêtés à la boutique de la « Trappe », (et non la boutique de l’attrape) où une foule de touristes affamés faisaient la file devant les deux seules caisses de ce minuscule commerce qui, en cette saison d’affluence, ressemblait à un épicerie américaine prise d’assaut à la veille d’un ouragan. Nous avons filé en douce sans rien acheter.
Ce matin, j’ai cuisiné un peu entre deux brassées de lavage. Un pâté végétal, bien meilleur que celui qu’on achète à l’épicerie, et des muffins à l’avoine et aux pommes, que je n’ai pas encore goûtés. Depuis que j’habite avec mon copain, je cuisine beaucoup plus souvent et avec plaisir. Lui aussi aime cuisiner et se débrouille très bien. D’autant plus qu’il arrive avant moi le soir, alors c’est souvent lui qui prépare le souper. Ma fille rentre tard et se contente la plupart du temps d’un plat réchauffé ou d’une salade vite préparée. Mais l’essentiel, c’est que tout le monde soit heureux. Et c’est bien ce que je ressens ces jours-ci. La vie coule doucement…
Comme je n’ai plus de cours à l’université, j’attends avec impatience le début de mes ateliers à la Fédération québécoise du loisir littéraire. Pour l’instant, je profite de mes soirées libres pour lire un peu plus, jouer quelques heures sur mon Nintendo DS (eh oui, j’ai acheté ce bidule et ça m’amuse beaucoup) ou faire un peu de correction, question de ne pas perdre la main. Il faudrait bien que je me décide d’ailleurs à offrir mes services. Le hic, c’est que j’ai peur de manquer de temps. Alors j’hésite, et à force d’hésiter, je ne fais rien. Hum, faudra y remédier.
Par contre, je me réserve le droit de m’accorder du temps pour un projet d’écriture. Oui, oui, un projet d’écriture. Faut bien mettre en pratique tout ce que j’ai appris non? Et je suis convaincue que si je relisais certaines pages de ce journal, je découvrirais que ce projet ne date pas d’hier. Il attend son tour, lui aussi. Et depuis longtemps!
2 commentaires:
Je suis bien contente que la vie coule tout doucement pour vous trois. L'espace de chacun est préservé et comme ça doit être cool de rentrer le soir avec le fumet du souper comme accueil!
C'était habituel pour moi avec mon ex, très plaisant!
Ah le temps des pommes!
Pour tes projets, ça viendra bien et au bon moment en plus! Profites de tes soirées pour l'instant ;)
Oui, j'en profite bien.
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