Chaque fois que je visite le magasin de tissu, je me dis qu’il faudrait bien que je me remette à la couture. Pour environ 3 $, j’ai obtenu suffisamment de tissu pour confectionner une jupe à ma fille, qu’elle aurait payé 25 $ dans une boutique.
J’ai commencé à coudre à douze ans. Aujourd’hui, aucun projet ne me fait peur. Ce sont mes yeux qui me freinent, bien plus que le manque de patience ou d’envie de m’y remettre. Faire de la couture me détend et me fait du bien. C’est très valorisant de porter une robe dont on a choisi le tissu et assemblé toutes les pièces. Et puis, on trouve dans les boutiques de couture des étoffes magnifiques qui n’ont rien à voir avec ce qu’on retrouve dans le prêt-à-porter.
Il m’arrive parfois d’avoir envie de m’offrir une autre surjeteuse. La mienne a fait son temps et ma fille l’a suffisamment maltraitée pour qu’elle soit devenue de plus en plus capricieuse. Ces machines à quatre fils quadruplent la difficulté que j’éprouve à enfiler les aiguilles. Même avec mes lunettes, je n’y arrive que très difficilement. Une fois tous les fils correctement enfilés et la machine remise de ses mauvais traitements, je suis trop épuisée pour commencer à coudre. Mais l’exercice aiguise la patience, ça c’est certain.
Le tissu est coupé, les machines sont prêtes, il ne me reste plus qu’à assembler les pièces. Mais demain je pars pour deux jours avec mon copain, alors le travail sera remis à plus tard. J’espère que le temps pluvieux et froid d’aujourd’hui fera place au soleil dès demain. En fait, c’est qu’on nous annonce à la météo.
Ma sœur est en croisière quelque part dans les Bermudes. Je sais qu’elle et son mari avaient grand besoin de ces vacances. Je suppose qu’ils en bénéficieront amplement. L’été passe si vite. Nul doute qu’il faille en profiter le plus possible.
J’ai commencé à coudre à douze ans. Aujourd’hui, aucun projet ne me fait peur. Ce sont mes yeux qui me freinent, bien plus que le manque de patience ou d’envie de m’y remettre. Faire de la couture me détend et me fait du bien. C’est très valorisant de porter une robe dont on a choisi le tissu et assemblé toutes les pièces. Et puis, on trouve dans les boutiques de couture des étoffes magnifiques qui n’ont rien à voir avec ce qu’on retrouve dans le prêt-à-porter.
Il m’arrive parfois d’avoir envie de m’offrir une autre surjeteuse. La mienne a fait son temps et ma fille l’a suffisamment maltraitée pour qu’elle soit devenue de plus en plus capricieuse. Ces machines à quatre fils quadruplent la difficulté que j’éprouve à enfiler les aiguilles. Même avec mes lunettes, je n’y arrive que très difficilement. Une fois tous les fils correctement enfilés et la machine remise de ses mauvais traitements, je suis trop épuisée pour commencer à coudre. Mais l’exercice aiguise la patience, ça c’est certain.
Le tissu est coupé, les machines sont prêtes, il ne me reste plus qu’à assembler les pièces. Mais demain je pars pour deux jours avec mon copain, alors le travail sera remis à plus tard. J’espère que le temps pluvieux et froid d’aujourd’hui fera place au soleil dès demain. En fait, c’est qu’on nous annonce à la météo.
Ma sœur est en croisière quelque part dans les Bermudes. Je sais qu’elle et son mari avaient grand besoin de ces vacances. Je suppose qu’ils en bénéficieront amplement. L’été passe si vite. Nul doute qu’il faille en profiter le plus possible.
Ma petite valise est prête. Nous partirons assez tôt, avec un pique-nique, pour jouir pleinement des lieux et nous retrouver enfin en pleine nature. Plaisir assuré.
2 commentaires:
Je te trouves bien patiente pour coudre mais je sais que tes résultats sont magnifiques... contrairement aux miens qui datent, tellement c'est nul. He he! C'est quand même un comble, quand toute ma famille: tantes, cousines, soeurs ont des doigts de fées. J'ai pas eu ce don, coudonc, hehe!
Bonne petite balade et surtout du beau temps!
Tu as bien d'autres dons j'en suis sûre. Et tout s'apprend, avec de la patience, bien sûr...
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