C’est bien quand on est en vacances qu’on se rend compte que le travail occupe une (trop?) grande place dans notre vie. Il détermine l’heure à laquelle nous nous levons et nous couchons, les vêtements que nous allons porter, l’endroit où nous allons habiter, le mode de vie que nous allons adopter selon le revenu qu’il nous rapportera.
Et aujourd’hui, je ne sais pas pourquoi, je me sens totalement inutile. Je suis allée me promener dans un quartier de Montréal où j’espérais trouver un peu de vie, un peu de distraction. C’était si moche que je suis revenue encore plus déprimée. Bien fait pour moi, j’aurais dû prendre la direction de la campagne et aller chanter avec les oiseaux.
Mais ce matin, je n’avais tout simplement envie de rien. Il faut dire que j’ai très mal dormi et que même après que mon copain et ma fille eurent quitté l’appartement pour se rendre à leur travail respectif, je n’ai pas pu me rendormir. Je suis restée figée devant la télé, jusqu’à ce que l’idée me prenne d’aller faire un tour en ville.
J’ai arpenté les rues en m’arrêtant à quelques boutiques, toutes semblables, toutes affreusement garnies des mêmes vêtements qui ne valaient pas le prix de liquidation affiché dans la vitrine. Déprimant à souhait.
Au retour, j’ai rêvé d’un lac où me baigner, un lac sans algues bleues, sans pollution. Je pense que demain je ne resterai pas en ville…
Et aujourd’hui, je ne sais pas pourquoi, je me sens totalement inutile. Je suis allée me promener dans un quartier de Montréal où j’espérais trouver un peu de vie, un peu de distraction. C’était si moche que je suis revenue encore plus déprimée. Bien fait pour moi, j’aurais dû prendre la direction de la campagne et aller chanter avec les oiseaux.
Mais ce matin, je n’avais tout simplement envie de rien. Il faut dire que j’ai très mal dormi et que même après que mon copain et ma fille eurent quitté l’appartement pour se rendre à leur travail respectif, je n’ai pas pu me rendormir. Je suis restée figée devant la télé, jusqu’à ce que l’idée me prenne d’aller faire un tour en ville.
J’ai arpenté les rues en m’arrêtant à quelques boutiques, toutes semblables, toutes affreusement garnies des mêmes vêtements qui ne valaient pas le prix de liquidation affiché dans la vitrine. Déprimant à souhait.
Au retour, j’ai rêvé d’un lac où me baigner, un lac sans algues bleues, sans pollution. Je pense que demain je ne resterai pas en ville…
1 commentaire:
C'est un peu plus dépaysant la campagne ;)
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