Retour au travail, routine habituelle. À la différence que cette année, ma fille suit le rythme, puisqu’elle travaille elle aussi. L’été dernier, elle avait sombré dans un état léthargique inquiétant; elle dormait toute la journée et ne faisait rien qui vaille. Aujourd’hui, elle m’a même suivie au gym! Un samedi matin! Je ferai une croix sur le calendrier…
Elle m’a suivie, c’est le cas de le dire. Elle s’amusait à imiter tout ce que je faisais, suivant mon parcours et exécutant les mêmes exercices. Mais surprise! Elle a eu du mal à tenir le rythme et à lever des haltères aussi lourds que les miens. Je me moquais un peu d’elle et j’étais aussi fière de constater que mon entraînement, plus rigoureux et plus constant que le sien, avait porté fruits.
Je ne suis pas inquiète, elle est en pleine forme et elle a envie de continuer à s’entraîner parce que, tout comme moi, elle constate les bienfaits de l’exercice tant sur le plan moral que physique. Et ces moments où nous nous retrouvons toutes les deux à faire une même activité sont précieux pour moi, car nos échanges se font de plus en plus rares. Sa présence auprès de son copain, son travail et ses amis prennent tout son temps et c’est bien normal. Mais si nous avons perdu en quantité, nous avons largement gagné en qualité. Et n’est-ce pas ce qui compte le plus?
Je lui disais justement aujourd’hui que je sentais que la tempête de l’adolescence se dissipait peu à peu et que ça me faisait le plus grand bien. Elle a rétorqué que tout était dans ma tête, mais je suis persuadée qu’elle comprend ce que je veux dire et qu’elle aussi se sent beaucoup mieux à présent.
Au travail, les tensions se sont elles aussi apaisées. La période des vacances est bénéfique pour tout le monde. J’aime bien travailler seule et profiter de l’absence des collègues et du silence qui s’installe dans les bureaux pour faire avancer des dossiers qui autrement prendraient inévitablement du retard. Je termine ma journée satisfaite du travail accompli et je ressens moins de stress. Mais je sais que ça ne durera pas. Malheureusement. Il faudra bientôt augmenter la cadence, supporter les humeurs changeantes et palier le manque d’organisation avec patience et en gardant le sourire. J’ai l’habitude. En bon petit soldat bien entraîné, je saurai là aussi tenir le rythme.
Elle m’a suivie, c’est le cas de le dire. Elle s’amusait à imiter tout ce que je faisais, suivant mon parcours et exécutant les mêmes exercices. Mais surprise! Elle a eu du mal à tenir le rythme et à lever des haltères aussi lourds que les miens. Je me moquais un peu d’elle et j’étais aussi fière de constater que mon entraînement, plus rigoureux et plus constant que le sien, avait porté fruits.
Je ne suis pas inquiète, elle est en pleine forme et elle a envie de continuer à s’entraîner parce que, tout comme moi, elle constate les bienfaits de l’exercice tant sur le plan moral que physique. Et ces moments où nous nous retrouvons toutes les deux à faire une même activité sont précieux pour moi, car nos échanges se font de plus en plus rares. Sa présence auprès de son copain, son travail et ses amis prennent tout son temps et c’est bien normal. Mais si nous avons perdu en quantité, nous avons largement gagné en qualité. Et n’est-ce pas ce qui compte le plus?
Je lui disais justement aujourd’hui que je sentais que la tempête de l’adolescence se dissipait peu à peu et que ça me faisait le plus grand bien. Elle a rétorqué que tout était dans ma tête, mais je suis persuadée qu’elle comprend ce que je veux dire et qu’elle aussi se sent beaucoup mieux à présent.
Au travail, les tensions se sont elles aussi apaisées. La période des vacances est bénéfique pour tout le monde. J’aime bien travailler seule et profiter de l’absence des collègues et du silence qui s’installe dans les bureaux pour faire avancer des dossiers qui autrement prendraient inévitablement du retard. Je termine ma journée satisfaite du travail accompli et je ressens moins de stress. Mais je sais que ça ne durera pas. Malheureusement. Il faudra bientôt augmenter la cadence, supporter les humeurs changeantes et palier le manque d’organisation avec patience et en gardant le sourire. J’ai l’habitude. En bon petit soldat bien entraîné, je saurai là aussi tenir le rythme.
2 commentaires:
C'est vrai que des activités communes sont salutaires dans n'importe quelle relation hein? ;)
Bon retour au travail et que le temps calme dure le plus longtemps possible pour toi!
Merci, j'espère aussi que ce calme va durer.
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